Emi Hanabusa

**Délégué** *Saikai*

♠Emi Hanabusa♠
« Ne jamais se fier aux apparences. »

(c) Never-Utopia

Je suis ...

Prénom: Emi

Nom: Hanabusa

Âge: 18 ans

Sexe: Une jeune fille ~

Pouvoir: Manipulation des Ombres. Peut contrôler les ombres de n'importe qui et n'importe quel objet mais suivant le temps qu'elle l'utilise, elle dormira la double du temps. De plus elle peut créer des doubles d'elle, avec son ombre seulement deux pour une durée limité (10 min pour les deux et 15 min pour une), et aussi dans grâce à l'ombre des autres mais seulement un double pour quelques minutes. Sinon des bras fantomatiques sortant des zones d'ombres sont la seule chose qu'elle peut contrôler un peu près tout le temps car cela demande peu de force.

Ton orientation sexuelle: Hétérosexuelle

Groupe: Saikai

Signes particuliers: Un dessin de larme noir apparait sur sa joue et ses cheveux deviennent blanc quand elle utilise son don. Elle a aussi un tatouage en bas de son dos.

Codes du formulaire :

Spoiler:

Dévouée

Nymphomane

Vive d'esprit

Manipulatrice

Protectrice

Bipolaire

Ange ou démon ...

« Un homme courtois ne marche pas sur l'ombre de son voisin. » Proverbe Chinois.

Dévouée : « Se dévouer sera toujours le texte de la vie des femmes » H. De Balzac
Emi est une personne dévoué qu’on lui attribue, sans doute la seule dans sa classe. Néanmoins cela s’expliquerait sans doute parce qu’elle est très dévouée et obéissante, ne rechignant jamais à la tâche. Bien qu’une lassitude semble l’emplir. Sa dévotion semble pourtant avoir des limites. Peut-être joue elle un jeu pour se mettre les profs dans la poche, pour les bonnes notes ? Qui sait …

Nymphomane : « Je suis une sorte de nymphomane de la mode qui n'atteint jamais l'orgasme. »
Comment mieux vous l'expliquer ? Emi est une jolie femme. Ce n'est peut-être pas une bombe mais, elle sait séduire autant doucement que brutalement. Rentre dedans, elle ne fait pas de détours et dis directement ce qu'elle pense et aussi ce qu'elle veut. Pourquoi attendre de dire à quelqu'un que l'on a envie de lui ? Autant savoir tout de suite si c'est réciproque au lieu de désespérer pendant des jours.
Et cela n'est pas sans déplaire aux hommes, sans doute que les timides commencent à leur taper sur le système. En tout cas, Emi n'a pas à se plaindre de se coter. Et là encore c'est elle qui décide, de quand, où, avec qui. Les hommes sont des pantins pour elle, qu'elle utilise et jette à son envie.

Vive d'esprit :
En effet, Emi a beaucoup de vitalité d’esprit, concevant rapidement un point de vue intellectuel. Son esprit et comme des griffes se fermant sur leurs proies et ne la libérant qu’une fois la solution trouvée. Le cerveau est un muscle qu’Emi a travaillé et l’esprit un souffle qu’elle a aimantée.

Manipulatrice : « La séduction a toujours été une histoire de manipulation. » François Réaux
Les femmes ont toujours été considères comme des sorcières, manipulant les hommes avec leurs baguette. Emi est sans doute la version moderne de ce mythe. Avec son jolie minois et ses grand yeux, elle arrive à embobiner n’importe qui, vous devenez alors de simple pantin entre ses doigts. Mais ne vous attachez pas à elle, Emi vous jetteras bien assez vite.

Froide :
L’y a une chose que très peu de personnes savent faire : Faire semblant. Faire croire que tout va bien, alors qu'au fond tout va mal. La vraie force finalement c'est de ravaler ses larmes et de se dire que tout ira bien malgré tout. Souvent on ne se rend pas compte à qu'elle point on peut être cruel et méchant avec les autres. Souvent, on ne se rend pas compte à qu'elle point les mots ça fait mal. Une simple phrase pourrait nous anéantir tout entier, un simple "je te déteste" ou "tu n'es rien". Cela parait être des mots comme les autres, mais prononcer de la bouche de quelqu'un que l'on aime plus que tout ça ne l'est pas. Il y a des douleurs, des actes, des mots qui nous font si mal. Les gens que l'on aime plus que tout seront toujours ceux qui nous feront le plus de mal. Il y a des fois où l'on prononce des paroles que l'on finit par regretter, mais qui font si mal à la personne à qui elles étaient destinées.
Et parfois, c'est mieux de rentrer sa fierté dans sa poche et d'aller s'excuser. De prononcer un simple "désolé", pleins de larmes et de regrets. Oui, ce n'est qu'un simple mot après tout. Mais les mots ont un impact si fort. Certes, cela ne pourrait pas tout arranger mais c'est déjà un premier pas. Parce que parfois il vaut mieux oublier sa fierté pour ne pas perdre les gens que l'on aime. La fierté n'est rien, cela nous empêche juste d'arranger les choses. Mais ça, Emi, n'arrive pas à l'assimiler, elle est souvent cassante avec les gens, elle dit ce qu'elle pense, même si ça fait mal. Elle ne sait pas dire Désolé, ce mot reste comme bloqué dans sa gorge et ne veut pas en sortir comme si pour elle s'était le plus gros des mensonges, d'essayer de se faire pardonner.

Protectrice : « Derrière l'apparence, il y avait peut-être la réalité. L'apparence faisant fonction d'ombre protectrice. » J. Sternberg
Envers certaines personnes, Emi sera comme un bouclier. Prête à tout pour les défendre, et devenant assez acerbe et dangereuse, sans doute sa bipolarité intervenant dans ces moments. Il n’empêche qu’elle est toujours là quand quelqu’un qu’elle apprécie à besoin d’aide. Pourtant elle peut très bien, laisser ceux qu’elle n’aime pas dans un état déplorable et passer devant eux sans un mot, ni une grimace comme si cette souffrance ne la touchait pas.

Bipolaire : Les troubles bipolaires, qui sont aussi connus sous le nom de psychose maniacodépressive, sont des maladies qui entraînent des dérèglements de l'humeur se manifestant par des phases tant de dépression que d'excitation (manies). Ces phases apparaissent soit en réaction au stress, soit sans raison apparente et peuvent être d'intensité variable et s'entrecouper de périodes de stabilité. Il arrive à tout le monde de vivre des périodes de bonheur, de tristesse, d'excitation et d'être confronté à certaines difficultés. Cependant, dans le cas des troubles bipolaires, ces changements sont hors de proportion. Ils atteignent une intensité telle que la personne ne réalise pas qu'elle dépasse les bornes, ou encore, la personne souffre tellement de sa dépression qu'elle en est paralysée et est hantée par des idées suicidaires. Cet état amène des problèmes avec la famille, au travail, des problèmes financiers, parfois judiciaires. La maladie peut conduire à l'hospitalisation.
Voilà médicalement la Bipolarisation, ce dont souffre Emil. Bien qu’elle passe par la phase de manie : Estime de soi augmentée ou idées de grandeur, Énergie débordante et bonheur intense ou irritabilité excessive, Réduction du besoin de sommeil, Agitation psychomotrice, augmentation de l'énergie, Plaisirs augmentés de façon excessive et à haut risque de conséquences négatives : achats, sexualité, investissements financiers. Elle ne passe pas par l’autre étape connue, la dépression. Non, en fait quand on connait Emil, c’est une personne calme et posé, assez discrète, ne parlant que pour faire avancer les choses, jamais pour ne rien dire. En fait parfois, les gens ont plus l’impression que c’est de la schizophrénie au vu des changements complètement opposés …

Dessine toi ...

« Les plus jolies choses du monde ne sont que des ombres.» De Charles Dickens.

Emi sans l’utilisation de don :

Spoiler:

Emi est une jeune fille faisant un mètre 70. À l’allure de poupée, elle a une peau très blanche sentant la pèche. Ses cheveux bruns sont longs et bouclée, une Grancher lui tombant sur le visage. Son visage justement est gracile, au trait fin. De Grands yeux verts aux reflets d’or. Son nez est fin et droit surplombant une bouche fine et rosé. Légèrement carré des épaules. Mademoiselle détient une poitrine à en faire envier plus d’une. Imposante sans en faire trop et ronde, elle a de quoi attirer des regards. Une taille fille de poupée, des hanches un peu large et de grandes jambes musclés. C’est une belle jeune fille et qui prend soin d’elle. Ne se maquillant que les yeux, elle est sophistiquée. En dehors de l’uniforme scolaire, elle s’habille avec classe. Emi aime beaucoup les robes et les jupes ainsi que les collants, pour les plaisir des messieurs pouvant admirer ses jambes. Une fille simple qui néanmoins attire les regards.

Emi avec l’utilisation de don :

Spoiler:

Non elle ne se transforme pas en affreux monstres verts avec trente tentacules. Elle reste Emi mais avec quelques changements. Quand elle utilise son don, ses cheveux prennent les couleurs d’un blanc argenté, ses yeux devant d’un vert translucide et comme un tatouage noir en forme de goutte se formant sur l’une de ses joues.
Bien entendu elle a pratiquement toujours son violon sur elle.

Chapitre I : L'exil.

« Les hommes ne seraient que des ombres s'ils ne donnaient pas la vie. »
de Joë Bousquet

Emi est née dans un petit village, en France. Un village de campagne paisible où il faisait bon vivre. Enfant unique, ses parents l'adorée et la traitait correctement. Elle avait une bande d'amis, quatre garçon et une autre fille. Franck était le Chef de la bande mais il se battait souvent contre Emi car elle était déjà forte. Un jour, elle devait rejoindre ses amis près du ruisseau qui passait non loin du village. Se dépêchant d'aider se mère a faire les corvée, elle sortit en courant dehors. Le temps était magnifique et il faisait bon. Quand elle les rejoignit, elle vit qu'ils avaient des cannes a péchés de fortune, ils allaient pécher ! Ils firent deux groupes. Elle se retrouve avec sa meilleur amie et Mathys. C'était la garçon qu'elle aimait en secret, seule son amie Marina était au courant. Elle fut donc heureuse d'être dans le même groupe que lui.

Ils péchèrent et vint l'heure des résultats. L'équipe de Emi n'avait pas pécher grand chose alors que l'autre équipe avait pécher de grosses truites. En rangeant l'équipement, Emi trouve une peau de serpent. De couleur grise brillante, elle l'a prit dans ses mains, les yeux pétillant. Elle en faisait la collection et trouva celle ci magnifique. Elle alla l'a montrer a ses amis.

-Regardez, dit-elle.

-Wouha, elle est magnifique, dit Mathys.

-C'est pour sa qu'elle sera à moi, dit Franck en arrachant la peau des main de Emi qui la foudroya du regard.

-Pourquoi ? Tu ne t'intéresse absolument pas a sa alors que moi je les collectionne !, hurla-t-elle presque.

-C'est parce que j'ai gagner a la pêche, allez va ranger les cannes., un sourire de triomphe sur ses lèvres.

Hors d'elle, Emi lui sauta dessus et roula avec lui jusqu'au bord de l'eau. Ils commencèrent à ce battre. Leurs amis les regardaient un plus plus loin, ils étaient habituer à leurs chamailleries mais là, ca avait vraiment l'air sérieux. Pendant ce temps, Franck enchainait les coups sur Emi qui faisait de même. Ils finirent par atterrirent dans l'eau peu profonde. Et là tout ce passa très vite, Emi frappa un grand coup dans la tête de Franck qui alla se heurter contre quelque chose, elle entendit un craquement et Franck devint immobile. Elle se débattit et sortit de l'eau. Son regard se tourna derrière elle, Francky n'était pas sortit de l'eau, son corps immobile flottait contre la berge. Même sans qu'ils y eu un mot de dit, tous avaient compris qu'il était mort, Emi l'avait tué. Les enfants se précipitèrent chez eux en hurlant et en pleurant, laissant Emi ahurit devant le corps de l'enfant.

Quand les adultes apprirent, ils demandèrent que le Conseil se réunisse et décide du sort de l'enfant. Le père de Emi répliqua en disant qu'elle n'était qu'une enfant, qu'elle l'avait fait sans le vouloir.

Le Conseil se réunit néanmoins. Emi fut emmener dans une grande salle où tout le village se trouvait assis, avec en face trois siège où siégeait les gens du conseil, les trois personnes les plus vieilles du village. On questionna les enfants, sur les quatre, seul le meilleur ami de Franck, en colère, soutenant qu'elle l'avait volontairement, les autres disaient n'avoir rien vue, que tout était flou. Quand ce fut au tour de Emi de parler, elle s'assit et face du Conseil, les yeux embrumer de larmes.

-Explique nous ta version Emi.

-Je... j'avais trouver une peau de serpent pas loin et Franck me l'avait pris en disant qu'il la garderait et...et on a commencer a ce battre mais mais ce n'était pas la première fois on le faisait assez souvent mais la .... tout c'est passer trop vite...

Emi s'arrêta en pleure, elle n'avait que huit ans et ne comprenait pas, elle savait qu'elle avait fais quelque chose de grave mais c'était trop dur pour elle.

Elle sentit quelqu'un la prendre dans ses bras, a travers les larmes elle vit le visage de son père. Elle enfouit son visage contre lui, le Conseil était partis pour parler. Quand Emi fut calmer, le Conseil revint et annonça la sentence.

-Nous avons écouter et nous avons décider. Emi est condamner à l'exil a partir de ce soir. Elle ne devra plus jamais revenir au village.

Exiler était un bien grand mot mais dans cette vie, les enfants pouvaient être abandonné à l'adoption et c'était l'exil. En peu de temps, Emi, ne vit plus personne de son village.

Chapitre II : Un Espoir.

« Plus on s'approche de la lumière, plus on se connaît plein d'ombres. »
de Christian Bobin

Je jouais dans ce centre. Abandonné par les mien je mettais refugié dans un certain mutisme. Je ne parlais à personne, me cachant dans un coin pour ne pas attirer l’attention. Je ne sais exactement combien de temps je restai dans cet endroit. Je pensais que personne ne voudrais plus de moi après ce que j’avais fait. Je grandissais et comprenais mes actes. Puis un jour tout changea.

« La voici »

Encore un couple venue pour adopter un enfant, un autre pas moi. Sans doute par curiosité, ce jour-là j’ai levé le regard. J’étais seule dans la pièce. Face à moi, l’une des femmes du centre avec deux personnes. Ils me regardaient fixement en souriant. Ils étaient eux aussi très pale avec des cheveux très noirs et des yeux bizarre.

« Levé toi Emi »

Cela faisait quatre ans que j’avais ici et jamais je n’avais vu des parents venus pour moi. Timidement, je m’étais approché, me cachant derrière les jambes de la dame du centre. Je les entendis discuter par la suite puis on me permit de retourner jouer.

Peu de temps après je fus adopter.

Ils étaient japonais, la famille Han abusa. Tous deux stériles ils ne pouvaient avoir d’enfants et s’était tourné vers l’adoption. Ils étaient tombés sur ma photo et me diront plus tard avoir été frappé par ce qui se voyait dans mes grands yeux d’enfant. Pendant deux ans, je vécu chez, eux et ne tarda pas à les accepter en tant que père et mère. Ils étaient très gentils, ouvert. Avec eux, j’appris la musique, dont le violon. J’adorais y jouer et ils me donnèrent assez vite des cours.

Avec cet instrument j’avais l’impression de m’évader, j’aimais apprendre la musique pour jouer. Quartes ans après mon adoption, à l’Age de quatorze ans, je jouais du violon comme une personne de mon Age ne le pourrais qu’après dix ans de plus de travaille. Assez vite, je donnais de petit concert, j’étais si bien quand je jouais. Je commencés à être connu, comme la plus jeune violoniste de talent.Mais un jour se fut le drame.

Lors d’une représentation, une énergie me submergea et j’entrai dans une surexcitation folle que j’en fini par exploser mon violon au sol. Peu de temps après, j’appris que j’étais atteinte d’une légère bipolarité à quinze ans. Mais ce n’étais que le début ….

Un jour, je refis une crise, d’habitude, les crises n’étaient pas violentes envers les autres personnes. Mais cette fois-là, je m’en pris à ma mère adoptive et quelque chose d’étrange se produisit. Alors que j’étais dans une rage folle, des bras fantomatique sortirent de l’ombrent et empoigner ma mère. Sur l’effet de la surprise ma crise s’arrêta.

Je fus envoyé en hôpital psychiatrique, je n’avais que seize ans. Durant mon séjour, je subi divers traitement ou maltraitance, ce dépend comment on voit les choses. Ils essayaient de me guérir disaient-ils, ils essayaient plutôt de me détruire. Au fur et à mesure, je compris que j’étais différente. Ces bras fantomatiques réapparurent plusieurs fois. Quand j’étais seule, j’apprenais à contrôler cette chose que j’avais en moi, jusqu’à apprendre à en faire de nouvelle.

Pourtant je sentais que peu à peu je me perdais, que mon esprit se brisais.

Chapitre III : Un Nouveau Départ.

« Si le corps est droit qu’importe que l’ombre soit tordue. »
de Proverbe chinois

En fait je crois qu’il ou elle m’a sauvé. Un jour j’ai reçu cette lettre étrange. Ca parlait d’une ile, d’une Université. Mais surtout de don. J’étais acceptée là-bas et je sentais dans cette lettre comme un ordre de venir. Je pensais que l’hôpital allait me retenir mais non, ils me laissèrent partir les bras ouverts.

J'y alla donc fiere, car j'avais survecu, entiere à mon passé. J'y fis une croix. La seule chose que je garda de ce passer etait le violon.

Je savais que je serais sans doute mieux la bas que ici, où je suis comme un monstre. C’est ainsi que je finis à Rosenwald.

Raconte nous !

Ton nom: Ludivine

Ton âge: 17 ans

Comment nous as tu connus ? : Je suis la fonda '_'

Que pense tu du forum ?: Je l'aimeuh

C'est ton dernier mot ?: C'est mon dernier mot o/